Scanner des petits animaux

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Expliquer le principe de la tomodensitométrie et la façon dont les scanners sont obtenus
• Discuter autour des différents types de scanners actuellement disponibles sur le marché
• Décrire le protocole à suivre pour obtenir les scanners de la meilleure qualité possible
• Lister les étapes nécessaires afin de réaliser une étude réussie
• Reconnaître des artefacts et comprendre comment les éviter
• Devenir familier avec les logiciels les plus couramment utilisés pour lire les scanners, et apprendre à réaliser les reconstructions à base des scanners les plus utiles
• Développer sa capacité à décrire et à rédiger un rapport de façon méthodique

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Connaître les techniques de scan appropriées et les protocoles pour l’imagerie du squelette des membres.
• Effectuer une liste des étapes nécessaires pour effectuer un arthroscanner
• Passer en revue les changements typiques observés lors de scanners de différentes maladies du coude, telles que la dysplasie et l’ossification incomplète du condyle huméral.
• Décrire comment diagnostiquer une ostéochrondrite disséquante de diverses articulations, à partir d’un scanne.
• Expliquer les caractéristiques d’un scanner d’arthropathies inflammatoire, érosive, néoplasique et infectieuse.
• Élaborer une façon méthodique d’évaluer des fractures complexes comme des fractures intra-articulaires carpiennes ou tarsiennes, à l’aide d’un scanner.
• Se familiariser avec l’anatomie normale des tendons et comment ils se manifestent sur un scanner lorsqu’ils sont inflammés, par exemple lors d’une ténosynovite bicipitale.
• Échanger au sujet de la variété de tumeurs du système musculo-squelettique et de leur apparence sur un scanner, et des caractéristiques qui permettent de savoir si une néoplasie est bénigne ou maligne.
• Identifier les caractéristiques clés qui pourraient vous aider à diagnostiquer une maladie inflammatoire du système musculo-squelettique, comme la panostéite ou la myosite, à partir d’un scanner.
• Comprendre l’utilisation de la tomodensitométrie dans l’évaluation des déformités antébrachiales et fémorales.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Discuter des protocoles de tomodensitométrie nécessaires pour optimiser l’imagerie de la tête, du cerveau et du cou
• Devenir familier avec l’anatomie normale en identifiant correctement les structures osseuses et les tissus mous de la tête et du cou, y compris la cavité nasale, les orbites, les structures orales, le système lymphatique et sanguin, les muscles masticateurs, les tissus glandulaires et le pharynx / larynx.
• Expliquer les caractéristiques du scanner permettant de différencier néoplasie, inflammation et infection, afin de guider les cliniciens et les aider à diagnostiquer une néoplasie, une rhinite chronique ou fongique, une myosite des muscles masticateurs, une maladie dentaire, ou encore un abcès rétrobulbaire.
• Décrire les méthodes qui peuvent être employées pour guider un chirurgien lors de la planification des marges chirurgicales afin de préparer une opération pour une tumeur à la tête ou au cou, dans le cas d’une néoplasie maxillaire ou thyroïdienne.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Décrire les méthodes qui peuvent être employées pour guider un chirurgien lors de la planification des marges chirurgicales afin de préparer une opération pour une tumeur à la tête ou au cou, dans le cas d’une néoplasie maxillaire ou thyroïdienne.
• Lister les caractéristiques d’identification d’une variété de tumeurs observées dans la tête ou le cou lors d’un scanner, tels qu’un mélanome buccal ou bien encore un carcinome épidermoïde.
• Vérifier de façon systématique les scanners des patients atteints de traumas, afin d’évaluer les fractures du crâne et de la colonne vertébrale, ainsi que les atteintes des tissus mous.
• Décrire l’approche tomodensitométrique lors de suspicion de lésions liés à des bâtons en région cervicale.
• Apprendre à différencier une otite externe d’une otite moyenne/interne, et être capable d’identifier des pathologies plus importantes ou plus rares, telles que la formation d’un abcès para-oral/au niveau de l’oreille ou encore d’un cholestéatome.
• Examiner un scanner d’une mucocèle salivaire en identifiant quelle(s) glande(s) salivaire(s) est/sont à l’origine du problème

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Apprendre les meilleurs protocoles de scanner pour l’abdomen, en mettant l’accent sur la l’angiographie à double et triple phases.
• Être capable de reconnaître et de décrire des shunts porto-systémiques et autres anomalies vasculaires telles que les fistules artério-veineuses et une thrombose.
• Comprendre l’intérêt du scanner et reconnaître que son utilisation est plus appropriée que l’échographie dans le cadre de maladies du foie et péritonéales.
• Expliquer l’apparence typique d’un scanner de tumeurs hépatiques et les caractéristiques qui permettent de différencier une néoplasie bénigne d’une néoplasie maligne.
• Décrire l’apparence normale d’une vésicule biliaire et des voies biliaires, et l’utilisation de la tomodensitométrie pour aider à diagnostiquer des maladies telles qu’une obstruction biliaire extra-hépatique ou bien une mucocèle de la vésicule biliaire.
• Décrire les caractéristiques typiques d’une néoplasie splénique et apprendre à la différencier des autres pathologies spléniques telles qu’une torsion ou une thrombose.
• Formuler une liste différentielle priorisée à la suite d’un scanner montrant une ascite, et justifier son opinion.
• Identifier des noeuds lymphatiques normaux et anormaux dans l’abdomen, et être conscient des pathologies pouvant causer une lymphadénopathie.
• Se familiariser avec les anomalies du périnée / du rétropéritoine, telles que la péritonite, les corps étrangers migrants et la carcinomatose.
• Identifier les meilleurs protocoles de scanner pour l’abdomen

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Se familiariser avec l’anatomie normale du système vasculaire abdominal, du foie et du système lymphatique abdominal.
• Échanger autour d’une grande variété de scanners avec le conférencier et les autres participants pour évaluer la qualité du scanne et identifier les variations anatomiques normales.
• Décrire les étapes à suivre pour lire un scanner de façon méthodique et produire un rapport clair et concis de vos observations
• Décrire la façon dont un scanner peut permettre de faire la différence entre des voies gastro-intestinales normales et anormales.
• Savoir identifier de façon confiante les obstructions mécaniques de l’appareil digestif.
• Résumer l’apparence typique d’un scanner d’une variété de hernies à la fois congénitale et acquise, y compris hernies ombilicale, inguinale, scrotale, fémorale, et périnéale.
• Expliquer comment vous détermineriez l’importance, pour un patient, d’un incidentalome de la glande surrénale, ainsi que les examens complémentaires ou les traitements supplémentaires qui seraient à conseiller dans cette situation.
• Lister les caractéristiques de différenciation entre une inflammation, une infection et une néoplasie du pancréa.
• Être capable d’examiner un scanner de l’appareil urinaire et d’évaluer les causes les plus probables d’une prostatomégalie.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Identifier les meilleurs protocoles de scanner pour le thorax
• Reconnaître les avantages et les inconvénients des protocoles en utilisant moyens de contentions radio-transparents.
• Effectuer une liste des protocoles de contraste appropriés pour différencier les pathologies lors d’un scanner du thorax
• Apprendre à interpréter les différentes pathologies pulmonaires à l’aide de la tomodensitométrie, tels que les vers parasites des poumons, les torsions de lobe pulmonaire, la fibrose pulmonaire, la bronchopneumonie ou encore la thrombose pulmonaire.
• Décrire les caractéristiques d’un épanchement pleural sur un scanner, et apprendre à interpréter le scanner d’un épanchement pleural.
• Résumer les anomalies associées au cœur pouvant être observées sur un scanner, telle qu’une persistance du canal artériel, les anomalies congénitales des artères coronaires, un épanchement péricardique, ou encore une hernie hiatale péritonéale/péricardique.
• Apprendre à diagnostiquer les maladies néoplasiques, parmi lesquelles les tumeurs vertébrales, de la paroi thoracique, médiastinale et pulmonaire, à l’aide d’un scanner.
• Échanger au sujet des cas de traumas thoraciques pour évaluer l’avantage d’un scanner thoracique.
• Identifier les maladies de la plèvre, du médiastin et des noeuds lymphatiques associées au thorax.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Démontrer une bonne connaissance de l’anatomie normale du thorax
• Discuter autour d’une grande variété des scanners avec le conférencier et les autres participants pour évaluer la qualité de chaque scanner et identifier les variations anatomiques normales.
• Décrire les étapes à suivre pour lire un scanner du thorax de façon méthodique et produire un compte rendu clair et concis de vos observations
• Expliquer comment faire la différence entre une néoplasie pulmonaire métastatique de nodules pulmonaires non-néoplasiques.
• Être capable d’établir une liste précise de diagnostics différentiels à partir d’un scanner.
• Identifier les différentes options les plus appropriées pour les prochaines étapes à suivre, pour aider le clinicien à émettre un diagnostic.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Passer en revue l’anatomie normale du cerveau et de la colonne vertébrale et apprendre à maîtriser la tomodensitométrie pour différencier les pathologies telles que les maladies cérébrales acquises ou congénitales.
• Comprendre les cas cliniques qui bénéficient davantage d’un scanne par opposition à une IRM.
• Comprendre les limites de l’utilisation de la tomodensitométrie pour réaliser une imagerie du système nerveux.
• Décrire les changements classiques/typiques observés dans le cerveau et la colonne vertébrale lors de traumas, et comprendre en quoi l’imagerie peut être utile pour établir un pronostic.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Lister des caractéristiques observées lors d’un scanner permettant l’identification de maladies inflammatoires, infectieuses et néoplasiques du cerveau et de la colonne vertébrale, tels qu’une hydrocéphalie secondaire à la PIF, une méningo-encéphalite granulomateuse ou encore un méningiome.
• Expliquer comment différencier une lésion vertébrale congénitale d’une lésion acquise, notamment une myélopathie cranio-thoracique par sténose canalaire d’une néoplasie vertébrale.
• Résumé de la technique et des pièges du myéloscanner pour comprendre son utilité lors de la prise de décision pour des cas de maladies des disques intervertébraux.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Être capable d’examiner un scanner et de préparer un compte-rendu précis.
• Présenter un cas devant un public, en utilisant une présentation PowerPoint
• Défendre votre liste de diagnostics différentiels et expliquer comment vous êtes parvenus à ces conclusions.
• Décrire les étapes nécessaires pour parvenir à un diagnostic final, dans votre cas.
• Critiquer les comptes rendus de vos collègues participants, tout en justifiant votre opinion.

À la fin du cours, les participants doivent capables de :

• Être capable d’examiner un scanner et de préparer un compte-rendu précis.(continuation)
• Présenter un cas devant un public, en utilisant une présentation PowerPoint. (continuation)
• Défendre votre liste de diagnostics différentiels et expliquer comment vous êtes parvenus à ces conclusions.(continuation)
• Décrire les étapes nécessaires pour parvenir à un diagnostic final, dans votre cas.(continuation)
• Critiquer les comptes rendus de vos collègues participants, tout en justifiant votre opinion.(continuation)